L’espérance est un peu comme le levain qui fait dilater l’âme. Il y a des moments difficiles dans la vie, mais avec l’espérance, l’âme avance et regarde ce qui nous attend. L’apôtre Jean conclut : « Celui qui a en lui cette espérance se purifie lui-même. »
L’espérance nous purifie, nous rend plus léger ; cette purification en Jésus Christ nous fait marcher en hâte, promptement.
Dans cet avant-coucher de soleil d’aujourd’hui, chacun de nous peut penser au crépuscule de sa vie : « Comment sera mon crépuscule ? ». Nous aurons tous un crépuscule, tous !
Est-ce que je le regarde avec espérance ? Est-ce que je le regarde avec cette joie d’être accueilli par le Seigneur ?. Voilà une pensée chrétienne qui nous donne la paix.
Pensons au crépuscule de tant de nos frères et sœurs qui nous ont précédés, pensons à notre crépuscule, lorsqu’il viendra. Et pensons à notre cœur et demandons-nous. « Où mon cœur est-il ancré ? » S’il n’est pas bien ancré, ancrons-le là sur ce rivage, en sachant que l’espérance ne déçoit pas, parce que le Seigneur ne déçoit pas.
« L’espérance ne déçoit pas » Pape François, 11.11.2013
« Que le Dieu de l’espérance vous comble de joie et de paix dans la foi, afin que vous débordiez d’espérance par la puissance de l’Esprit Saint. » Romains 15, 13